Top 3 des études les plus courtes en médecine

Vous rêvez d’exercer un métier dans le domaine de la santé, mais vous n’avez pas envie de passer des années sur les bancs de la fac ? Vous cherchez une formation médicale rapide et accessible, qui vous permette d’entrer rapidement dans la vie active ? Vous êtes au bon endroit ! Dans cet article de notre blog  santeavantout.com , nous allons vous présenter les trois formations médicales les plus courtes à obtenir, qui vous ouvriront les portes du secteur médical sans passer par le parcours classique de la première année commune aux études de santé (PACES). <!–more–>Nous allons vous détailler les conditions d’accès, la durée, le contenu, les débouchés et les salaires de ces formations, qui concernent principalement les métiers d’assistant médical, d’aide-soignant, d’ambulancier, d’infirmier et de manipulateur en électroradiologie médicale. Nous allons également vous parler des avantages et des inconvénients de ces études les plus courtes en médecine, ainsi que des perspectives d’évolution et de reconversion possibles. Enfin, nous allons vous donner des conseils pratiques pour réussir ces formations et trouver un emploi dans le secteur médical. Alors, prêt à découvrir notre top 3 des études les plus courtes en médecine ? C’est parti !

1. Assistant médical

L’assistant médical est un nouveau métier créé en 2019 pour répondre aux besoins des médecins libéraux et des structures de soins ambulatoires. Il s’agit d’un professionnel de santé qui assiste le médecin dans ses tâches administratives et médicales, comme la prise de rendez-vous, l’accueil des patients, la gestion du dossier médical, la réalisation d’actes simples (prise de tension, prélèvement sanguin, etc.) ou encore l’éducation thérapeutique. L’objectif est de décharger le médecin de certaines tâches pour lui permettre de se consacrer davantage à son cœur de métier.

Pour devenir assistant médical, il faut suivre une formation spécifique de deux ans après le bac, accessible sur dossier et entretien. Cette formation est la première des 3 étude de médecine les plus courtes que vous pouvez faire rapidement, pour autant ne vous attendez pas à des études faciles ! La formation se compose de cours théoriques (anatomie, physiologie, pathologie, pharmacologie, etc.), de travaux pratiques (gestes techniques, communication, etc.) et de stages en milieu professionnel. La formation débouche sur un certificat d’aptitude à exercer le métier d’assistant médical (CAAM), reconnu par l’État.

L’assistant médical peut exercer dans différents lieux de soins ambulatoires, comme les cabinets médicaux, les centres de santé ou les maisons de santé pluriprofessionnelles. Il travaille sous la responsabilité et le contrôle du médecin qu’il assiste. Il peut également collaborer avec d’autres professionnels de santé, comme les infirmiers ou les pharmaciens. Le salaire moyen d’un assistant médical est d’environ 1 800 euros brut par mois.

Les avantages du métier d’assistant médical sont nombreux : il s’agit d’un métier varié, qui permet d’avoir un contact direct avec les patients et de participer à leur prise en charge globale ; il s’agit également d’un métier valorisant, qui contribue à améliorer l’accès aux soins et la qualité des soins ; enfin, il s’agit d’un métier porteur, qui offre de nombreuses opportunités d’emploi dans un secteur en tension.

Les inconvénients du métier d’assistant médical sont principalement liés aux conditions de travail : il faut être capable de gérer le stress, la charge de travail et les situations difficiles ; il faut également être disponible, flexible et polyvalent ; enfin, il faut accepter de travailler en équipe et de respecter les règles déontologiques et le secret médical.

Pour évoluer dans le métier d’assistant médical, il est possible de se spécialiser dans un domaine particulier, comme la pédiatrie, la gériatrie ou la cardiologie ; il est également possible de se former à d’autres compétences, comme la gestion, la comptabilité ou l’informatique ; enfin, il est possible de se reconvertir vers d’autres métiers de la santé, comme infirmier, aide-soignant ou secrétaire médical.

2. Aide-soignant

Pour devenir aide-soignant, il faut suivre une formation d’un an après le bac ou après avoir validé un diplôme du secteur sanitaire et social (comme le CAP accompagnant éducatif petite enfance ou le bac pro accompagnement, soins et services à la personne). Cette formation qui fait partie des étude de médecine les plus courtes, se compose de deux modules : le cours théoriques (biologie, nutrition, psychologie, etc.), de travaux pratiques (gestes techniques, relationnel, etc.) et de stages en milieu professionnel. La formation débouche sur le diplôme d’État d’aide-soignant (DEAS), reconnu par l’État.

L’aide-soignant peut exercer dans différents lieux de soins, comme les hôpitaux, les cliniques, les maisons de retraite, les centres de rééducation ou les services à domicile. Il travaille en collaboration avec d’autres professionnels de santé, comme les infirmiers, les médecins ou les kinésithérapeutes. Le salaire moyen d’un aide-soignant est d’environ 1 500 euros brut par mois.

Une aide-soignant et une personne âgée

Les avantages du métier d’assistant médical sont nombreux : il s’agit d’un métier varié, qui permet d’avoir un contact direct avec les patients et de participer à leur prise en charge globale ; il s’agit également d’un métier valorisant, qui contribue à améliorer l’accès aux soins et la qualité des soins ; enfin, il s’agit d’un métier porteur, qui offre de nombreuses opportunités d’emploi dans un secteur en tension.

Les inconvénients du métier d’assistant médical sont principalement liés aux conditions de travail : il faut être capable de gérer le stress, la charge de travail et les situations difficiles ; il faut également être disponible, flexible et polyvalent ; enfin, il faut accepter de travailler en équipe et de respecter les règles déontologiques et le secret médical.

Pour évoluer dans le métier d’assistant médical, il est possible de se spécialiser dans un domaine particulier, comme la pédiatrie, la gériatrie ou la cardiologie ; il est également possible de se former à d’autres compétences, comme la gestion, la comptabilité ou l’informatique ; enfin, il est possible de se reconvertir vers d’autres métiers de la santé, comme infirmier, aide-soignant ou secrétaire médical.

3.Ambulancier

L’ambulancier est un professionnel de santé qui assure le transport sanitaire des personnes malades, blessées ou handicapées. Il intervient sur prescription médicale ou dans le cadre des urgences préhospitalières. Il conduit le véhicule sanitaire léger (VSL) ou l’ambulance selon les besoins du patient. Il veille au confort et à la sécurité du patient pendant le trajet. Il réalise des gestes de premiers secours si nécessaire. Il communique avec le centre de régulation médicale (CRM) ou le service d’aide médicale urgente (SAMU) pour transmettre les informations relatives au patient et à son état de santé. Il remplit les documents administratifs liés au transport et à la prise en charge du patient.

Ambulancière

Pour devenir ambulancier, il faut suivre une formation de six mois après le bac ou après avoir obtenu le permis de conduire B depuis au moins trois ans. La formation, très courte et qui est certainement la plus court des étude de médecine les plus courtes, se compose de deux modules : le certificat de capacité d’ambulancier (CCA), qui comprend des cours théoriques (anatomie, physiopathologie, hygiène, etc.), des travaux pratiques (gestes d’urgence, conduite, etc.) et des stages en milieu professionnel ; et l’attestation de formation aux gestes et soins d’urgence de niveau 2 (AFGSU 2), qui permet d’acquérir les compétences nécessaires pour intervenir en situation d’urgence. La formation débouche sur le diplôme d’État d’ambulancier (DEA), reconnu par l’État.

L’ambulancier peut exercer dans différents types de structures, comme les entreprises privées de transport sanitaire, les associations agréées de sécurité civile, les services hospitaliers ou les services départementaux d’incendie et de secours. Il travaille en binôme avec un autre ambulancier ou avec un auxiliaire ambulancier. Le salaire moyen d’un ambulancier est d’environ 1 600 euros brut par mois.

Les avantages du métier d’ambulancier sont principalement liés à l’action : il s’agit d’un métier passionnant, qui permet de vivre des situations variées et parfois intenses ; il s’agit également d’un métier utile, qui permet de sauver des vies et de soulager des souffrances ; enfin, il s’agit d’un métier relationnel, qui permet d’établir un lien de confiance avec les patients et de travailler en équipe avec d’autres professionnels de santé.

Les inconvénients du métier d’ambulancier sont surtout liés aux risques et aux contraintes : il faut être capable de faire face aux situations d’urgence, aux accidents, aux violences ou aux décès ; il faut également être capable de gérer le stress, la fatigue et les émotions ; enfin, il faut accepter de travailler en horaires décalés, les week-ends et les jours fériés.

Pour évoluer dans le métier d’ambulancier, il est possible de se spécialiser dans un domaine particulier, comme le transport néonatal, le transport pédiatrique ou le transport psychiatrique ; il est également possible de se former à d’autres fonctions, comme la régulation médicale, la formation ou la gestion ; enfin, il est possible de se reconvertir vers d’autres métiers de la santé, comme infirmier, aide-soignant ou assistant médical.

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